ADRÉNOMÈTRE ♠
NOTE TV TV TV TV TV
Jack Crow est chasseur de vampires depuis que ses parents ont
succombé aux dents acérées de l'un d'entre eux. Il consacre sa vie à
les chasser dans une traque impitoyable en
compagnie d'une poignée de mercenaires. À la demande du cardinal Alba, émissaire du Vatican, la Team Crow
part au Nouveau-Mexique avec pour mission de détecter et détruire les nids de
vampires. Mais après un nettoyage dans une ferme,
l'équipe se fait attaquer par le grand maitre des vampires, Valek.
Avant dernier film avant sa retraite temporaire de 10 longues années, Vampires du grand John Carpenter contient encore toute l'inventivité et l'énergie bouillonnante du gaillard, qui fera malheureusement défaut lors de son retour en 2011 avec The Ward.
La patte de l'auteur, identifiable et omniprésente dès le début du métrage fascine... ça pue la sueur, c'est bourré de testostérone, ça dégomme à la sulfateuse sur des airs de blues bien gras, et du coup, Vampires s'impose comme un western moderne, une chasse aux vampires chez les cowboy véhiculant à elle seule tout le cinéma que l'on aime chez Big John : insoumis, burné et provocateur.
Au casting on retrouve l'excellente Sheryl Lee, encore sous l'influence de son personnage de pute torturée dans Twin Peaks. Ainsi que James Wood dans le rôle d'un chasseur de fantôme teigneux et déterminé à exterminer le grand maître des vampires, Valek, interprété par un Thomas Ian Griffith sombre et charismatique à souhaits.
La patte de l'auteur, identifiable et omniprésente dès le début du métrage fascine... ça pue la sueur, c'est bourré de testostérone, ça dégomme à la sulfateuse sur des airs de blues bien gras, et du coup, Vampires s'impose comme un western moderne, une chasse aux vampires chez les cowboy véhiculant à elle seule tout le cinéma que l'on aime chez Big John : insoumis, burné et provocateur.
Tout juste redescendue de Twin Peaks, Sheryl Lee s'envoyait en l'air avec un vampire.... |
Au casting on retrouve l'excellente Sheryl Lee, encore sous l'influence de son personnage de pute torturée dans Twin Peaks. Ainsi que James Wood dans le rôle d'un chasseur de fantôme teigneux et déterminé à exterminer le grand maître des vampires, Valek, interprété par un Thomas Ian Griffith sombre et charismatique à souhaits.
Même s'il fait partie des films les moins flippants de John Carpenter, il serait davantage à classer dans l'action horreur, Vampires n'en demeure pas moins une pure réussite, une partition cinématographique sans fausse note qui démontre qui était le maître indiscutable de la série B au siècle dernier...
N.T.
En bref :
titre original : John Carpenter's Vampires
pays d'origine : États-Unis
année de production : 1998
budget : 20 000 000 $
date de sortie française : 15 avril 1998
budget : 20 000 000 $
date de sortie française : 15 avril 1998
durée : 108 minutes
adrénomètre : ♠
note globale : 5/5
adrénomètre : ♠
note globale : 5/5
Le flip : Le charismatique maître Valek
Lire aussi :
Halloween
The Thing
The Ward
L'Antre de la folie
Lire aussi :
Halloween
The Thing
The Ward
L'Antre de la folie
Commentaires
Enregistrer un commentaire