ADRÉNOMÈTRE ♠
NOTE TV TV TV TV TV
L'écrivain Marty Beck part s'installer à
Wingate Road. Il pense y trouver ce qui manque à son
inspiration, soit une maison où les portes grincent, habitée par des chats
noirs et pleine de macabres souvenirs. Mais ce qu'il rencontre à Wingate Road le plonge au cœur de ses propres romans fantastiques. Au
fil des nuits blanches et des apparitions spectrales, des visions cauchemardesques, plongé dans une atmosphère terriblement stressante, Marty Beck se
rend compte qu'il vit désormais l'horreur qu'il faisait vivre hier à ses
personnages...
Autant être clair, regarder jusqu'au bout cette bobine des frères Polonia - qui ne sont plus qu'un depuis 2008 - relève de l'exploit.
Perpétuellement aux frontières d'un amateurisme, qu'il franchit régulièrement, il pourrait constituer à lui seul un exemple pour les cinéastes en devenir... des trucs à éviter au cinéma. Acteur amateurs, multiplication d'effets vidéo de mauvais goût et inutiles, effets spéciaux et maquillages à la truelle la plupart du temps ratés, il y a même un monsieur qui lit le titre du film au début avec une voix super caverneuse histoire de mettre le spectateur dans l'ambiance...
Sans parler des pans de dialogues occultés derrière des nappes de synthétiseurs, ou de la mort incarnée par une sombre entité équipée d'une faux. Et oui amateurs de naufrages cinéphiliques, avec La Maison Hantée, on nage en pleine mer du Z. Mais attention, pas n'importe laquelle, cette mer là recrache des classiques à peine digérés comme Evil Dead, Shining, La nuit des morts-Vivants, Psychose, et même Amityville...
Perpétuellement aux frontières d'un amateurisme, qu'il franchit régulièrement, il pourrait constituer à lui seul un exemple pour les cinéastes en devenir... des trucs à éviter au cinéma. Acteur amateurs, multiplication d'effets vidéo de mauvais goût et inutiles, effets spéciaux et maquillages à la truelle la plupart du temps ratés, il y a même un monsieur qui lit le titre du film au début avec une voix super caverneuse histoire de mettre le spectateur dans l'ambiance...
Sans parler des pans de dialogues occultés derrière des nappes de synthétiseurs, ou de la mort incarnée par une sombre entité équipée d'une faux. Et oui amateurs de naufrages cinéphiliques, avec La Maison Hantée, on nage en pleine mer du Z. Mais attention, pas n'importe laquelle, cette mer là recrache des classiques à peine digérés comme Evil Dead, Shining, La nuit des morts-Vivants, Psychose, et même Amityville...
Incroyable que ce truc ait déboulé en rayon un beau jour de notre bonne vieille année 2000. Le cinéma fantastique devait être alors fichtrement moribond... Toutefois, si les ambiances sonores apportent un léger plus pour instaurer une ambiance de malaise, lorsque cela se transforme en musique, on franchit une nouvelle fois la barrière du supportable. Certes les amateurs de vieux Z prendront sans doute leur pied dans cette maison hantée par une photo digne d'un film de l'Est fauché, voire pire. Un côté amateur qui m'évoque un autre film tout aussi fauché, vu il y a déjà des années. Mais qui, me semble-t-il, m'avait laissé un souvenir un peu plus ému : Scorched Heat.
Uniquement pour les fans de Z donc, et à la rigueur de l'esthétique "Derrick".
En bref :
titre original : The House that Screamed
pays d'origine : États-Unis
année de production : 2000
date de sortie française : 17 avril 2001 (DTV-Antartic)
durée : 78 minutes
date de sortie française : 17 avril 2001 (DTV-Antartic)
durée : 78 minutes
adrénomètre : ♠
note globale :
1/5
Le flip : Une suite qui n'a pas réussi -pour le moment- à se faufiler jusqu'à chez nous.
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