ADRÉNOMÈTRE ♡ ♡ ♡
NOTE TV TV TV TV TV
Ellen et Martin Shaw s'installent dans
une maison isolée et inhabitée depuis plus de vingt ans, espérant ainsi
repartir à zéro après la mort tragique de leur fils unique. Mais dès la première soirée des
événements étranges se déroulent. Une atmosphère trouble semble peser sur les deux
nouveaux occupants. Ellen reçoit en effet un mystérieux message qui la
prévient du nombre de jours qui lui reste à vivre. Le compte à
rebours a commencé...
Prenez une maison à la Amityville, un cimetière à la Poltergeist, ou encore un brin de folie à la Shining, enrobez le tout dans une réalisation doucement gothique, et vous obtiendrez surement quelque chose se rapprochant de Sept jours à Vivre.
Ceci étant dit, il s'agit de clins d’œil parfaitement assumés de la part du réalisateur allemand Sebastian Niemann, qui parsème son métrage de références, citant donc Poltergeist, Shining, Stephen King, (on aperçoit l'un de ses romans), sans oublier L'Exorciste ou encore Psychose.
Inspiré d'un mythe populaire allemand selon lequel au Moyen Âge, les condamnés à mort étaient jetés vivants dans un marécage de la région de Lünerburg, et, évidemment, leurs âmes revenaient la nuit hanter les lieux, Sept Jours à Vivre brasse des thèmes porteurs dans le genre tels le remord, l'impuissance face à une tragédie, la culpabilité ou encore la folie.
Malheureusement on n'atteint pas l'intensité voulue malgré des choix esthétiques louables, et un casting sans faute. Amanda Plummer y est parfaite dans ce rôle de femme marquée par la tragédie devant faire face à des événements inquiétants et glissant doucement vers la folie. À ses côtés, Sean Pertwee, entretient une ressemblance troublante avec Kevin Spacey, version John Doe et incarne ainsi un personnage de plus en plus mystérieux et angoissant au fil du métrage, se muant finalement en ersatz de Jack Torrance cette fois dans Shining...
Si ces quelques éléments sont à porter au crédit d'un film peu original, mais au final plutôt plaisant, en revanche on n'échappe malheureusement pas à toute une batterie de clichés du genre. On relève en tête de proue ce cri de détresse lancé bras levés face à une caméra en plongée, le genre de scène désormais réservé aux parodies... À préciser également que les moments de terreur sont peu nombreux, puisque l'on mise ici plutôt sur la tension psychologique. Car mis à part quelques scènes à effets spéciaux, dont certains numériques sont d'une laideur accablante, Sept Jours à Vivre relève plus du thriller psychologique que du film d'horreur. Vous voilà prévenus !
Ceci étant dit, il s'agit de clins d’œil parfaitement assumés de la part du réalisateur allemand Sebastian Niemann, qui parsème son métrage de références, citant donc Poltergeist, Shining, Stephen King, (on aperçoit l'un de ses romans), sans oublier L'Exorciste ou encore Psychose.
Inspiré d'un mythe populaire allemand selon lequel au Moyen Âge, les condamnés à mort étaient jetés vivants dans un marécage de la région de Lünerburg, et, évidemment, leurs âmes revenaient la nuit hanter les lieux, Sept Jours à Vivre brasse des thèmes porteurs dans le genre tels le remord, l'impuissance face à une tragédie, la culpabilité ou encore la folie.
Malheureusement on n'atteint pas l'intensité voulue malgré des choix esthétiques louables, et un casting sans faute. Amanda Plummer y est parfaite dans ce rôle de femme marquée par la tragédie devant faire face à des événements inquiétants et glissant doucement vers la folie. À ses côtés, Sean Pertwee, entretient une ressemblance troublante avec Kevin Spacey, version John Doe et incarne ainsi un personnage de plus en plus mystérieux et angoissant au fil du métrage, se muant finalement en ersatz de Jack Torrance cette fois dans Shining...
Si ces quelques éléments sont à porter au crédit d'un film peu original, mais au final plutôt plaisant, en revanche on n'échappe malheureusement pas à toute une batterie de clichés du genre. On relève en tête de proue ce cri de détresse lancé bras levés face à une caméra en plongée, le genre de scène désormais réservé aux parodies... À préciser également que les moments de terreur sont peu nombreux, puisque l'on mise ici plutôt sur la tension psychologique. Car mis à part quelques scènes à effets spéciaux, dont certains numériques sont d'une laideur accablante, Sept Jours à Vivre relève plus du thriller psychologique que du film d'horreur. Vous voilà prévenus !
N.T.
En bref :
titre original : Seven Days to Live
pays d'origine : Allemagne / République tchèque / États-Unis
année de production : 2000
date de sortie française : 9 mai 2001
durée : 96 minutes
date de sortie française : 9 mai 2001
durée : 96 minutes
adrénomètre : ♥
note globale : 3/5
Le flip : Alors qu'Ellen regarde un portrait glauque, l'un des photographiés tourne la tête pour la regarder...
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