ADRÉNOMÈTRE ♡ ♡ ♡
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Un
vaisseau commercial, le Nostromo, parcours l'univers en direction de la Terre.
L'équipage, alors en hyper sommeil, est réveillé par l'ordinateur de bord après que celui-ci ait capté un message d'origine inconnue. Rendue sur place, une équipe est détachée pour aller explorer les lieux. Ce qui la mène à la découverte d'un vaisseau extraterrestre et de salles contenant des milliers d’œufs. À son retour à bord du Nostromo, l'équipage ne sait pas encore qu'il vient d’accueillir un huitième passager...
Film culte, Alien, le Huitième Passager a marqué plusieurs générations de spectateurs. Si le
scénario n'est pas d'une grande originalité, les histoires de messages
extraterrestres menant des astronautes à leur perte faisant recette depuis les
années 50, le film n'en reste pas moins un ovni du cinéma.
Tout d'abord grâce au décor et à l'ambiance du métrage. On peut ressentir la noirceur et la froideur de l'espace sur la planète LV-426, et on a vite fait de se sentir isolé et oppressé comme l'équipage du Nostromo, vaisseau à l'allure peu accueillante.
Mais venons-en à ce qui nous intéresse. Ce qui fait vraiment flipper dans le film, c'est l'alien lui-même, à la fois par sa présence et par son absence. Après avoir digéré la terreur provoquée par une créature capable de surgir du thorax d'un être humain, c'est une partie de «qui chasse qui ?» qui commence entre l'équipage et la créature extraterrestre. Car la chose se révèle être un prédateur redoutable, aussi intelligente qu'un être humain mais disposant des capacités physiques d'un animal et plus encore. Sa morphologie biomécanique que l'on doit à l'artiste suisse H. R. Giger lui confère une identité propre et unique au cinéma. Une «langue» pourvue de mâchoires, une queue avec un pieu au bout et du sang qui ferait passer l'acide sulfurique pour de l'eau de source. Son physique de «machine» se mêle parfaitement à l'environnement du vaisseau spatial et sa manière de traquer les membres de l'équipage, pourtant prêts à tout pour survivre, nous fait vite comprendre qui mène la danse.
Tout d'abord grâce au décor et à l'ambiance du métrage. On peut ressentir la noirceur et la froideur de l'espace sur la planète LV-426, et on a vite fait de se sentir isolé et oppressé comme l'équipage du Nostromo, vaisseau à l'allure peu accueillante.
Mais venons-en à ce qui nous intéresse. Ce qui fait vraiment flipper dans le film, c'est l'alien lui-même, à la fois par sa présence et par son absence. Après avoir digéré la terreur provoquée par une créature capable de surgir du thorax d'un être humain, c'est une partie de «qui chasse qui ?» qui commence entre l'équipage et la créature extraterrestre. Car la chose se révèle être un prédateur redoutable, aussi intelligente qu'un être humain mais disposant des capacités physiques d'un animal et plus encore. Sa morphologie biomécanique que l'on doit à l'artiste suisse H. R. Giger lui confère une identité propre et unique au cinéma. Une «langue» pourvue de mâchoires, une queue avec un pieu au bout et du sang qui ferait passer l'acide sulfurique pour de l'eau de source. Son physique de «machine» se mêle parfaitement à l'environnement du vaisseau spatial et sa manière de traquer les membres de l'équipage, pourtant prêts à tout pour survivre, nous fait vite comprendre qui mène la danse.
Malgré tout, les autres
personnages ne sont pas de simples zouaves attendant bêtement de se faire
trucider par la créature. Tous incarnés par d'excellents acteurs, ils ont des personnalités et des objectifs différents, et communiquent facilement au spectateur l'angoisse omniprésente du film.
Logan
En bref :
titre original : Alien
pays d'origine : Grande-Bretagne / États-Unis
année de production : 1979
budget : 11 000 000 $
budget : 11 000 000 $
année de sortie française : 12 septembre 1979
durée : 117 minutes
adrénomètre : ♥♥
durée : 117 minutes
adrénomètre : ♥♥
Le flip : La
première apparition de l'alien et la mort de la première victime sous le regard
stoïque d'un chat.
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