ADRÉNOMÈTRE ♡ ♡ ♡
NOTE TV TV TV TV TV
Armé d'une caméra vidéo, un groupe d'étudiants norvégiens se lance à la recherche de mystérieuses créatures qui sèment la pagaille dans la région. Durant leur traque, ils vont découvrir un braconnier pas comme les autres, surnommé le "chasseur de trolls"...
Après les cannibales, les sorcières, les extraterrestres, les démons et les fantômes, c'est cette fois au monde des trolls qu'André Øvredal a décidé d'appliquer la recette du found footage.
Et, à l'heure où beaucoup se lassent de cette manière de filmer qui rend plus service au récit qu'au spectateur, souvent tiraillé entre nausée et mal de crâne, il faut bien avouer que le film atteint son but haut la main.
Très rapidement, alors que le premier challenge se met en place pour les protagonistes, soit faire une prise de sang à un troll, les effets spéciaux parviennent, associés au jeu d'acteurs convaincant, à rendre tout à fait crédible ces monstres gargantuesque généreusement montrés.
Contrairement au Projet Blair Witch, qui instaure l'angoisse uniquement par la suggestion et l'implication des acteurs, Troll Hunter est parsemé de scènes d'action et d'aventure extrêmement honorables, tout autant génératrices de suspense et d'angoisse (la scène de la planque dans la "chambre" des trolls en est le parfait exemple. Se permettant même un certain recul sur les situations les plus gravissimes, déclenchant ainsi quelques rires (jaunes cela va de soi), comme lorsqu'Otto Jespersen, le chasseur de trolls, qui poursuit son objectif imperturbable, se fait chopper par l'un d'eux et secouer dans tous les sens avant d'être jeté au sol comme une vulgaire poupée désarticulée.
Sans oublier les superbes paysages enneigés des régions nordiques qui offrent une couleur inhabituelle et véritablement dépaysante au film. Pour peu qu'on se laisse embarquer dans ce safari surnaturel, l'éclate sera au rendez-vous, avec quelques scènes véritablement jouissives et grandioses.
Très rapidement, alors que le premier challenge se met en place pour les protagonistes, soit faire une prise de sang à un troll, les effets spéciaux parviennent, associés au jeu d'acteurs convaincant, à rendre tout à fait crédible ces monstres gargantuesque généreusement montrés.
Contrairement au Projet Blair Witch, qui instaure l'angoisse uniquement par la suggestion et l'implication des acteurs, Troll Hunter est parsemé de scènes d'action et d'aventure extrêmement honorables, tout autant génératrices de suspense et d'angoisse (la scène de la planque dans la "chambre" des trolls en est le parfait exemple. Se permettant même un certain recul sur les situations les plus gravissimes, déclenchant ainsi quelques rires (jaunes cela va de soi), comme lorsqu'Otto Jespersen, le chasseur de trolls, qui poursuit son objectif imperturbable, se fait chopper par l'un d'eux et secouer dans tous les sens avant d'être jeté au sol comme une vulgaire poupée désarticulée.
Sans oublier les superbes paysages enneigés des régions nordiques qui offrent une couleur inhabituelle et véritablement dépaysante au film. Pour peu qu'on se laisse embarquer dans ce safari surnaturel, l'éclate sera au rendez-vous, avec quelques scènes véritablement jouissives et grandioses.
N.T.
En bref :
titre original : Trolljegeren
pays d'origine : Norvège
budget : 2 500 000 €
année de production : 2010
date de sortie française : 27 juillet 2011
durée : 103 minutes
pays d'origine : Norvège
budget : 2 500 000 €
année de production : 2010
date de sortie française : 27 juillet 2011
durée : 103 minutes
adrénomètre : ♥
note globale : 4/5
Le flip : Quelle drôle d'idée que de se cacher à l'endroit même où dorment les trolls...
Commentaires
Enregistrer un commentaire