ADRÉNOMÈTRE ♡ ♡ ♡
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10 ans se sont écoulés depuis les terribles meurtres commis par Ghostface. Sidney Prescott a réussi à tourner la page mais elle ne peut s'empêcher de ressentir une forte appréhension lorsqu’elle retourne à Woodsboro pour le lancement de son premier roman. Et pour cause. Ses retrouvailles avec sa cousine Jill ainsi qu’avec le duo de choc Dewey et Gale seront de courtes durées puisque très rapidement, le tueur revient jouer du couteau... avec de nouvelles règles.
Avec Scream 4, c'est le slasher référence de la fin des années 90 qui est de retour...
Comme lors des épisodes précédents, on sent que Wes Craven, tout à fait dans son élément, prend un plaisir jouissif à triturer les codes du film d'horreur, proposant toujours ce qui a fait l'une des particularités de la série : la mise en abyme. Et à ce titre, la scène d'ouverture de type "poupées russes" est remarquable.
Évidemment, le gaillard a procédé à une mise à jour depuis le premier volet sorti chez nous en 1997. Désormais on parle de cinéma horrifique asiatique, le ou la survivante n'est plus vierge mais gay, on se met à l'heure d'internet via l'utilisation de webcams en streaming et des réseaux sociaux et certains jeunes pour le moins paumés, rêvent de devenir des stars médiatisées alors qu'ils n'ont aucun talent (toute ressemblances avec certaines émissions de télé poubelle...).
Ajoutez à cela quelques scènes de flip, d'autres plus fun, flirtant avec l'auto parodie et vous obtenez le retour gagnant d'une franchise toujours aussi tranchante, et d'un casting identique à celui qui a fait les heures de gloire de Scream (Courteney Cox, Neve Campbell et David Arquette sont de la partie).
Est-ce que le film aura été comme lors de la sortie de son premier opus, à l'origine d'une nouvelle vague de slashers ? Pas vraiment, même si le côté métacinoche apparaît dans de nombreuses productions récentes comme Détention ou La Cabane dans les Bois... Quoi qu'il en soit, pour le fan de thriller horrifique ultra référencé, ça le fera sans problème, pour les autres attention, ça découpe sévère à l'arme blanche et le sang coule à flot...
Ainsi, même si quelques moments de flip l'associe de facto à l'épouvante, Scream 4, tout comme son ascendance n'en demeure pas moins du point de vue graphique un véritable film d'horreur.
Comme lors des épisodes précédents, on sent que Wes Craven, tout à fait dans son élément, prend un plaisir jouissif à triturer les codes du film d'horreur, proposant toujours ce qui a fait l'une des particularités de la série : la mise en abyme. Et à ce titre, la scène d'ouverture de type "poupées russes" est remarquable.
Évidemment, le gaillard a procédé à une mise à jour depuis le premier volet sorti chez nous en 1997. Désormais on parle de cinéma horrifique asiatique, le ou la survivante n'est plus vierge mais gay, on se met à l'heure d'internet via l'utilisation de webcams en streaming et des réseaux sociaux et certains jeunes pour le moins paumés, rêvent de devenir des stars médiatisées alors qu'ils n'ont aucun talent (toute ressemblances avec certaines émissions de télé poubelle...).
Est-ce que le film aura été comme lors de la sortie de son premier opus, à l'origine d'une nouvelle vague de slashers ? Pas vraiment, même si le côté métacinoche apparaît dans de nombreuses productions récentes comme Détention ou La Cabane dans les Bois... Quoi qu'il en soit, pour le fan de thriller horrifique ultra référencé, ça le fera sans problème, pour les autres attention, ça découpe sévère à l'arme blanche et le sang coule à flot...
Ainsi, même si quelques moments de flip l'associe de facto à l'épouvante, Scream 4, tout comme son ascendance n'en demeure pas moins du point de vue graphique un véritable film d'horreur.
N.T.
En bref :
titre original : Scream 4
pays d'origine : États-Unis
budget : 40 000 000 $
année de production : 2011
date de sortie française : 13 avril 2011
durée : 111 minutes
titre original : Scream 4
pays d'origine : États-Unis
budget : 40 000 000 $
année de production : 2011
date de sortie française : 13 avril 2011
durée : 111 minutes
adrénomètre : ♥
note globale : 3.5/5
Le flip : "Mais je ne t'ai pas dit que j'étais dans ton placard, mais dans le placard..."
Le flip : "Mais je ne t'ai pas dit que j'étais dans ton placard, mais dans le placard..."
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